La Terre qui demeure.
"Claude Michelet construit (...) un roman rapide, agréable, précis, solide, enthousiaste, enthousiasmant (...) ce livre est à lire par tous les paysans, petits exploitants, amis de de la terre, amoureux de la terre ; ils sortiront de cette lecture très ragaillardis, heureux, forts et entreprenants."
Ce commentaire, extrait d'une critique parue dans l'Auvergnat de Paris, dit l'essentiel : d'emblée, le premier roman de l'auteur corrézien conquit ses lecteurs en décrivant le sort - devenant aujourd'hui, hélas, toujours plus tragique - des agriculteurs. Ayant le don des histoires claires, simples et sincères, Claude Michelet nous offre un retour aux sources débordant d'humanité. Un régal littéraire !
Présentation de l'éditeur :
"Le premier grand roman de Claude Michelet, chantre de la terre et des hommes qui la portent.
Mais on entend déjà, non loin de la vallée des Aulnes, le ronflement des bulldozers. Certains, dit-on, viendraient chercher de l’uranium, d’autres, investir bientôt dans de futures habitations… En ces années 1960, au nom du progrès, le paysage rural va définitivement changer.
Dans la vallée, Bordare est le seul paysan à ne pas vouloir vendre ses terres, même à prix d’or.
Il est seul contre tous pour que sa terre demeure…"