Livres Critique

J'ai dû rêver trop fort.

 

 

 

 

"Depuis longtemps, j’avais envie de mixer une histoire d’amour et un thriller. Mixer « Sur la route de Madison » (  Clint Eastwood , 1995  ...) et « Sueurs froides » d’Alfred Hitchcock ( … 1958). Il m’a fallu trouver une façon de mélanger. A surgi alors le déclic : les coïncidences... (...)"  C'est ainsi que Michel Bussi présente son dernier roman : J'ai dû rêver trop fort, dans une interview  à  La Grande Parade.

L'auteur narre l'histoire de Nathy, une hôtesse de l'air   mère de famille   revivant une histoire d'amour avec le musicien Ylian.    On  retrouve le style délié de Michel Bussi, passionné à la fois de géographie,  de musique et de documentation. On suit Nathy au fil de ses escales  à Montréal, San Diego, Jakarta ou Barcelone.  Ce livre - dont le titre fait référence à Alain Bashung -  ne se limite pas à nourrir le suspense sur fond de récit amoureux : il  plonge  le lecteur dans une stimulante ébullition.  

 

 

 

 

 

Présentation de l'éditeur :

 

 

 
"Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle...
Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?

En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.

Inédit !
L'artiste Gauvain Sers compose et interprète la bande originale du roman. La chanson, dont les paroles sont signées Michel Bussi, est au cœur de l'intrigue de J'ai dû rêver trop fort. Elle s'intitule Que restera-t-il de nous ? et sera disponible en ligne dès le 1er mars puis sur l'album de Gauvain Sers à partir du 29 mars. "
 
 
 
 
L'auteur : Professeur de géographie à l’université de Rouen, Michel Bussi est  le 2e auteur français le plus lu en 2018 (Palmarès le Figaro: GFK). Il est l’auteur aux Presses de la Cité de Nymphéas noirs, polar français le plus primé en 2011 (Prix Polar Michel Lebrun, Grand Prix Gustave Flaubert, Prix Polar méditerranéen, Prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, Prix Goutte de Sang d’encre de Vienne, 2011…), Un avion sans elle (Prix Maison de la Presse et Prix du Roman populaire, 2012), Ne lâche pas ma main (Prix du roman insulaire, 2013), N’oublier jamais (2014), Gravé dans le sable (2014), Maman a tort (2015), Le temps est assassin (2016) et On la trouvait plutôt jolie (2017).
Ses ouvrages sont traduits dans trente cinq pays et les droits de ses romans ont été vendus pour le cinéma et la télévision. La série Maman a tort a remporté un grand succès critique et public lors de sa diffusion sur France 2.
 
 
 
 
J'ai dû rêver trop fort
Par Michel Bussi
Editions des Presses de la Cité.
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Isbn : 9782258162839 ; fév. 2019 ; 478 pages ; 21,90 €



18/03/2019
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